Belle journée.
Je me suis rendu compte a Time Square que j'avais pris le métro avec un café a la main et l'ipod dans les oreilles.
Comme tout ces hommes et femmes qui vont bosser tout les matins.
On a (re)-vu Ground Zero. On a (re)-marché sur Wall Street. On s'est (re)-promené sur Broadway.
On a (re)-vu Ground Zero. On a (re)-marché sur Wall Street. On s'est (re)-promené sur Broadway.
En arrivant dans n'importe quelle ville du monde, toutes les rues sont froides, impersonnelles, vides (exception peut etre pour Times Square).
Et on en est a s'approprier cette ruche.
On sait où débouchent les métros, on sait a quoi ressemblera la prochaine intersection, on se crée des souvenirs a chaques coins de rue.
On ne lève plus les yeux sur les buildings, on marche le pas pressé en sirotant un café ou en mangeant un hot dog.
Ca n'fait qu'une semaine et 2 jours qu'on est là. Mais on en avait deja eu un aperçu.
On n'sera jamais véritablement New Yorkais, mais l'impression qu'on le devient petit à petit est vraiment forte.
Alors en conclusion, une trés bonne nouvelle:
La routine s'installe.
La routine s'installe.
(Pour aimer New York, écoutez Candy land de cocorosie sur Times square. Restez au centre du carrefour et regardez les vagues de gens.)
A copain:
le guide Niviere t'emmerde.